Résumé : Ce roman transporte le lecteur en Galice, dans les Flandres maritimes françaises, aux Philippines, en Thaïlande, à Koh Samui et Koh Tan. Hasard de la vie ?
Un jeune Galicien très romantique envoie une bouteille à la mer à l’occasion de ses 20 ans pour son père inconnu fusillé sous Franco. C’est une jeune française des Flandres maritimes qui la réceptionne et qui n’aura de cesse de découvrir son expéditeur.
Joie est retrouvée bébé dans le Jardin public José Rizal à Manille. Sauvée in extremis, adoptée par un Ministre, elle aura un destin extraordinaire. Son fils qui deviendra champion de boxe thaïe rencontrera le héro du roman, écrivain célèbre, Guillerme, jeune Franco-Galicien, fruit du hasard, neveu de Charly, héro des tomes précédents qui tentera de le guérir de la leucosélophobie. ”J'avais vingt-quatre ans et j'étais devenu en deux romans l'écrivain le plus en vue du monde, un monde pourtant que j'avais quitté, il y a dix mois pour vivre en Robinson, dans un bout de terre immergé en mer de Chine, en quête du sujet de mon prochain roman. J'étais tombé en panne d'inspiration. J'avais attrapé la maladie des écrivains : la leucosélophobie ou plus simplement, le syndrome de la page blanche ”.
Critiques : Je viens de terminer votre roman très intéressant, mais j'ai été surprise par la fin... C'est vraiment du suspense - celui que Charly conseillait à Guillerme ! - J'espère seulement que cette aventure ne vous soit pas arrivée, dysenterie par empoisonnement... n'êtes-vous pas menacé ? Bon, rassurez-moi. Enfin, j'ai beaucoup aimé les conseils de Charly à Guillerme, les descriptions concernant la boxe, celles des divers personnages, la beauté des fonds marins… Cette conclusion, qui n'en est pas, signifie donc qu'il y aura une suite, n'est-ce pas ? J’ai hâte de la lire… France Ramos
“Excellente citation de Stefan Zweig extraite de La Confusion des sentiments, c’est déjà un plus.
Dans les qualités indéniables de ce roman haut en couleurs, un récit qui tient en haleine le lecteur avec toujours cette pâte émotionnelle, fine sensible, une acuité incisive qui vous caractérise. Belles trouvailles d'expressions oubliées comme "la sardine de st Jean qui mouille le pain"!
Belle oscillation du texte entre le style narratif du roman, du récit ulyssien,de l'épopée cycladique, mélanges de récits issus de l'oralité et forme d'écriture tout à la fois élégante (les inserts poétiques) et plus populaires (les dialogues).”
Jeanne Villeneuve, jury du prix littéraire de l’Express