C’est un grand roman d’amour
Maximilien Selrac, un jeune génie de la musique, né au Château de Fort Lapin, va consacrer toute sa jeunesse, à l’amitié, et à sa grande passion, la musique. Amitié et passion, deux formes d’amour.
Son père, Napoléon Selrac, chef d’entreprise, député de la Sociale Démocratie, va se battre toute sa vie pour concilier l’entreprenariat et le partage… L’engagement dans les affaires et dans la politique, deux autres formes d’amour.
Maximilien gagneen 1936 le Grand Prix de Rome en composition musicale ; il est invité et rémunéré durant plus de trois ans à la Villa Medicis à Rome, un havre de création, de paix et d’amour.
Il y découvrira :
- tous les pensionnaires de la villa Medicis des autres disciplines artistiques dont ceux de sa promotion (Lucien Fontanarosa en peinture, André Greck en sculpture, Jacques Derrey en gravure, André Remondet en architecture…),
- le régime mussolinien à l’huile de ricin et ses grands prêtres,
- l’énigmatique Lorenzo, sommelier de la Villa Medicis, le jour, poseur de « la Bomba », la nuit, qui lui apprendra comment lutter contre la dictature en place,
- et la Comtesse Delhia Baldini, l’égérie de la résistance antifasciste dont il deviendra éperdument amoureux.
Il fomentera avec une organisation « terroriste » un complot pour abattre le dictateur à la terrifiante « course du Palio » à Sienne.
Il organise la lutte avec les résistants italiens puis avec les alliés qui ont débarqué sur les plages en pente douce de Salerne.
La guerre et la haine, les formes antonymiques de l’amour.
Il vengera la disparition de sa belle qu’il retrouvera peut-être… sur une plage de Saint-Tropez pour conclure une belle histoire d’amour.